À compter du 1er juillet 2023, la loi accorde aux employés publics d'un comté de 7,500 XNUMX habitants ou plus le droit de :
- Organiser, former, rejoindre ou aider une organisation d'employés ou s'abstenir de le faire ;
- Participer à la négociation collective ;
- S'engager dans d'autres activités concertées à des fins de négociation collective ou d'autres formes d'entraide ou de protection ;
- Communiquer avec les autres employés du comté et avec les représentants des organisations d'employés et recevoir et distribuer de la documentation concernant les problèmes d'organisation des employés ; et
- Avoir un représentant exclusif lors des discussions formelles concernant un grief, une politique ou pratique du personnel, ou toute autre condition d'emploi.
Le comté de Larimer continuera à travailler sur les détails associés à la mise en œuvre des exigences de la législation.
Le 28 novembre, le ministère du Travail du Colorado a fourni un document INFO, Avis interprétatif et avis formel (« INFO ») #15B.
Règlement approuvé le 11 mai pour :
Si vous avez des questions, veuillez consulter notre Foire aux questions. Vous pouvez également soumettre des questions via Demandez aux RH, ou contacter Brigitte Paris, DRH ou Christine Kuehnast, responsable des relations avec les employés.
Informations supplémentaires sur le résumé de la loi
La loi précise que les employés du comté peuvent participer pleinement au processus politique. De plus, l'acte :
- Accorde au représentant exclusif des employés du comté le droit d'accéder aux employés du comté au travail, par communication électronique et par d'autres moyens, y compris les orientations des employés ;
- Exige que les comtés honorent les autorisations des employés du comté pour les retenues sur salaire pour le représentant exclusif ;
- Précise que les droits spécifiques des employeurs du comté ne sont pas compromis, sauf accord contraire dans une convention collective ;
- Précise que rien dans une convention collective ne restreint ou n'usurpe l'autorité existante accordée aux commissaires de comté ;
- Oblige le directeur de la division des normes et des statistiques du travail du ministère du Travail et de l'Emploi (directeur) à faire respecter, interpréter, appliquer et administrer les dispositions de la loi et, ce faisant, à adopter des règles, à tenir des audiences et à imposer recours administratifs;
- Autorise le directeur ou toute partie intéressée à demander à un tribunal de district d'exécuter les ordonnances rendues en vertu de la loi ;
- Énonce le processus par lequel une organisation d'employés est certifiée et décertifiée en tant que représentant exclusif des employés du comté ;
- Énonce le processus par lequel une unité de négociation appropriée est déterminée ; et
- Exige que le comté et le représentant exclusif négocient collectivement de bonne foi.
La loi stipule que la convention collective est un accord négocié entre un représentant exclusif et un comté, avec l'approbation du conseil des commissaires du comté, qui doit :
- Être pour une durée d'au moins 12 mois et d'au plus 60 mois ; et
- Prévoir une procédure de règlement des griefs aboutissant à un arbitrage final et exécutoire.
La loi interdit à une convention collective de :
- Retarder l'entretien rapide des employés du comté faisant l'objet d'une enquête ;
- Permettre à un employé du comté d'utiliser son temps rémunéré pour une suspension d'emploi ;
- Autoriser la radiation des dossiers disciplinaires dans certaines circonstances ; et
- Imposer des limites à la période pendant laquelle un employé du comté peut être sanctionné pour des incidents de violence.
La loi décrit le processus de règlement des différends que le représentant exclusif et un comté doivent suivre si une impasse survient lors de la négociation d'une convention collective. La loi énonce les mesures prises au cours du processus de négociation collective par un comté ou un représentant exclusif qui sont des pratiques de travail déloyales.